Céramiste plasticienne, Rachèle Rivière explore les traces visibles et invisibles du souvenir, qu’elle esthétise avec une grande force graphique. Ces formes épurées et familières contrastent avec la densité mystérieuse de ces impressions photographiques en noir et blanc. Les images semblent surgir à la surface de ces objets témoins de notre quotidien, ressuscitant les fragments oubliés d’une mémoire défaillante. Pour quel motif ? La relativité du temps, la fragilité de la mémoire sont des motifs constants de la réflexion de cette archéologue de l’âme.
Céramiste plasticienne, Rachèle Rivière explore les traces visibles et invisibles du souvenir, qu’elle esthétise avec une grande force graphique. Ces formes épurées et familières contrastent avec la densité mystérieuse de ces impressions photographiques en noir et blanc. Les images semblent surgir à la surface de ces objets témoins de notre quotidien, ressuscitant les fragments oubliés d’une mémoire défaillante. Pour quel motif ? La relativité du temps, la fragilité de la mémoire sont des motifs constants de la réflexion de cette archéologue de l’âme.